Qosmos porte plainte pour diffamation à l’encontre de France 24
Paris, 15 juillet 2013
Le 27 juin 2013, France 24 a diffusé sur sa chaine de télévision et mis en ligne sur son site web un reportage titré « Des logiciels français vendus aux dictateurs », dans lequel Qosmos est accusée d’avoir fourni des technologies aux dictateurs Libyens et Syriens permettant de traquer et de torturer des opposants au régime. À la suite de ce reportage, Qosmos a porté plainte avec constitution de partie civile, ce jour, contre France 24 en la personne de sa directrice de la publication, ainsi que contre Alexandra Renard, journaliste, et James Dunne, ancien salarié de Qosmos.
Depuis 2011, Qosmos a publié de nombreux démentis publics le dernier en date du 18 juin 2013, confirmant qu’aucun de ses logiciels n’a jamais été opérationnel en Libye ou en Syrie. De plus, lors d’un entretien filmé le 19 juin 2013, l’avocat de Qosmos a décrit à France 24 la réalité des faits et précisé qu’aucun système contenant des composants Qosmos n’a jamais été opérationnel dans ces pays.
France 24 a choisi de ne pas utiliser ces informations, dont elle disposait pourtant.
Les propos tenus dans le reportage de France 24 sont faux et portent atteinte à l’honneur et à la réputation de Qosmos. C’est afin de défendre son image, tant en France qu’à l’international, que Qosmos a décidé de saisir la justice de ces accusations gravement diffamatoires, qui lui causent un préjudice considérable.
Rappel à propos des activités de Qosmos :
Qosmos fournit une brique technologique utilisée dans des applications très diverses dans les domaines de la cyber sécurité et des télécommunications, depuis les pare-feu réseaux jusqu’à la facturation de services en ligne. Qosmos vend ses logiciels à des entreprises (équipementiers réseaux, éditeurs de logiciels, intégrateurs) qui intègrent ses composants à leurs propres applications et en assurent la commercialisation. Le métier de Qosmos n’est pas de vendre des systèmes de surveillance.
Qosmos continuera à porter plainte contre ceux qui répandent de fausses informations sur l’entreprise. Pour rappel, le 3 septembre 2012, Qosmos a porté plainte contre la FIDH et la LDH pour dénonciation calomnieuse.